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Des équipes

Le CRCM comporte actuellement 6 équipes (5 Unités INSERM-UM1-CRLC et une équipe en création) et des services communs permettant une mutualisation des moyens (secrétariat-gestion, magasin, laverie). L’ensemble regroupe plus de 130 personnes (25 chercheurs, 4 enseignant-chercheurs, 10 cliniciens ou HU, 12 ingénieurs, 39 techniciens, 12 post-doctorants et 28 doctorants).

Une politique active vise à l’accueil de nouvelles équipes sélectionnées sur la base de leur excellence scientifique et de leur adhésion aux thèmes de recherche du CRCM ( Lire l'appel d'offre pour la composition d'un nouveau groupe de recherche ).


Des axes de développement

Récepteurs nucléaires et cancers hormono-dépendants
Les récepteurs aux oestrogènes et aux androgènes participent de manière importante au développement et à la progression des cancers du sein et de la prostate. D'autres récepteurs comme les PPARs pouraient jouer un rôle critique dans le lien métabolisme/cancer. Ces récepteurs sont des cibles potentielles pour le développement de nouvelles thérapies anti-cancéreuses, du fait de leur capacité à être activés ou inhibés par des ligands spécifiques. Par ailleurs, les différents acteurs de ces signalisations hormonales et métaboliques dans les cancers sont autant de marqueurs et de cibles potentiellement utilisables pour des stratégies thérapeutiques alternatives. Nos recherches s'intéressent donc au décryptage des mécanismes moléculaires de la signalisation hormonale et métabolique au niveau transcriptionnel et à la caractérisation de gènes clé relayant ou interférant avec cette signalisation au niveau cellulaire.

Profilage des cancers
L’instabilité génétique est une constante du cancer, fréquemment impliquée comme facteur causal ou initiateur. Les lignes de recherche développées impliquent l’étude des causes de sa mise en place et la dissection de ses mécanismes, mais aussi l’analyse de ses conséquences avec la recherche de profils génomiques permettant de spécifier des groupes cliniques particuliers de cancers. Ce profilage des cancers concerne également les phénomènes de résistance aux traitements anti-tumoraux, notamment chimiothérapeutiques, qui sont fréquents et responsables d’échecs thérapeutiques. Une démarche « du malade au malade » est indispensable pour comprendre les mécanismes impliqués dans la résistance et offrir des réponses personnalisées aux malades.

Anticorps thérapeutiques
Les anticorps monoclonaux ont maintenant atteint le statut de médicament en oncologie ouvrant de nombreuses perspectives en thérapies ciblées. Cependant, les mécanismes biologiques impliqués qu’ils soient directs ou associés au système immunitaire restent à préciser afin d’optimiser ces traitements et leur association prometteuse avec, notamment, la radiothérapie.

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